Notes
F. M. Dostoïevski, Le Joueur [1866], trad. A. Markowicz, Actes Sud, « Babel », 1991.
S. Zweig, Vingt-quatre heures de la vie d’une femme [1934], trad. O. Bournac et A. Hella, Le Livre de poche, 1980.
S. Zweig, Trois maîtres [1920], trad. H. Bloch et A. Hella, Le Livre de poche, « Biblio Essais », 1988.
G. Bachelard, L’Intuition de l’instant [1932], Le Livre de poche, « Biblio Essais », 1992.
Bergson considère que la seule réalité du temps est la durée, l’instant étant une construction artificielle de l’intelligence humaine. La durée, elle, est associée à l’intuition, seul mode d’appréhension du monde qui soit valable pour le philosophe. Bergson, Essai sur les données immédiates de la conscience [1889], éd. Frédéric Worms, PUF, « Quadrige », 2007.
Dostoïevski, Le Joueur, op. cit., p. 101.
Dostoïevski, Le Joueur, op. cit., p. 107.
Dostoïevski, Le Joueur, op. cit., p. 108-109.
Dostoïevski, Le Joueur, op. cit., p. 109.
Dostoïevski, Le Joueur, op. cit., p. 110.
Dostoïevski, Le Joueur, op. cit., p. 111.
Zweig, Vingt-quatre heures de la vie d’une femme, op. cit., p. 19.
Zweig, Vingt-quatre heures de la vie d’une femme, op. cit., p. 25-26. Je souligne.
Zweig, Vingt-quatre heures de la vie d’une femme, op. cit., p. 36.
Zweig, Vingt-quatre heures de la vie d’une femme, op. cit., p. 37.
Zweig, Vingt-quatre heures de la vie d’une femme, op. cit., p. 38 : « J’avais quarante ans lorsque mon mari mourut subitement. »
Zweig, Vingt-quatre heures de la vie d’une femme, op. cit., p. 39.
Zweig, Vingt-quatre heures de la vie d’une femme, op. cit., p. 39.
Zweig, Vingt-quatre heures de la vie d’une femme, op. cit., p. 89.
Dostoïevski, Le Joueur, op. cit., p. 112.
Dostoïevski, Le Joueur, op. cit., p. 116 .
Dostoïevski emprunte pour le personnage de Des Grieux le nom du héros du roman de l’abbé Prévost, Manon Lescaut, qui retrace l’histoire d’une courtisane trouvant finalement la rédemption dans l’amour.
Dostoïevski, Le Joueur, op. cit., p. 163 : « et je revins soudain à moi ! »
Dostoïevski, Le Joueur, op. cit., p. 163. Je souligne
Dostoïevski, Le Joueur, op. cit., p. 164.
Dostoïevski, Le Joueur, op. cit., p. 167.
Au Moyen Âge, l’ordalie, aussi appelée « jugement de Dieu », était une épreuve destinée à prouver l’innocence ou la culpabilité de l’accusé. Les plus célèbres et les plus impressionnantes étaient les épreuves du feu ou de l’eau. Les médecins parlent aujourd’hui de « comportement ordalique » pour qualifier les prises de risque par un sujet cherchant à valider son droit à l’existence.
Dostoïevski, Le Joueur, op. cit., p. 126.
Dostoïevski, Le Joueur, op. cit., p. 130 et passim.
Dostoïevski, Le Joueur, op. cit., p. 199. Je souligne.
Dostoïevski, Le Joueur, op. cit., p. 200.
Dostoïevski, Le Joueur, op. cit., p. 203.
Zweig, Vingt-quatre heures de la vie d’une femme, op. cit., p. 54.
Zweig, Vingt-quatre heures de la vie d’une femme, op. cit., p. 54.
Zweig, Vingt-quatre heures de la vie d’une femme, op. cit., p. 56.
Zweig, Vingt-quatre heures de la vie d’une femme, op. cit., p. 63.
Zweig, Vingt-quatre heures de la vie d’une femme, op. cit., p. 62.
Zweig, Vingt-quatre heures de la vie d’une femme, op. cit., p. 76.
Zweig, Vingt-quatre heures de la vie d’une femme, op. cit., p. 77.
Zweig, Vingt-quatre heures de la vie d’une femme, op. cit., p. 81. Je souligne.
Zweig, Vingt-quatre heures de la vie d’une femme, op. cit., p. 82.
Zweig, Vingt-quatre heures de la vie d’une femme, op. cit., p. 82.
Zweig, Vingt-quatre heures de la vie d’une femme, op. cit., p. 96.
Zweig, Vingt-quatre heures de la vie d’une femme, op. cit., p. 99.
Zweig, Vingt-quatre heures de la vie d’une femme, op. cit., p. 99.
Zweig, Vingt-quatre heures de la vie d’une femme, op. cit., p. 101.
Dostoïevski, Le Joueur, op. cit., p. 198.
Dostoïevski, Le Joueur, op. cit., p. 200.
Dostoïevski, Le Joueur, op. cit., p. 203.
Zweig, Vingt-quatre heures de la vie d’une femme, op. cit., p. 45.
Zweig, Vingt-quatre heures de la vie d’une femme, op. cit., p. 42.
Zweig, Vingt-quatre heures de la vie d’une femme, op. cit., p. 49.
Zweig, Vingt-quatre heures de la vie d’une femme, op. cit., p. 72.
Zweig, Vingt-quatre heures de la vie d’une femme, op. cit., p. 52.
Zweig, Vingt-quatre heures de la vie d’une femme, op. cit., p. 51.
Zweig, Vingt-quatre heures de la vie d’une femme, op. cit., p. 115, 117.
Zweig, Vingt-quatre heures de la vie d’une femme, op. cit., p. 119-120.
Dostoïevski, Le Joueur, op. cit., p. 161.
Dostoïevski, Le Joueur, op. cit., p. 161.
En réalité, pour être exact, il faudrait parler d’actualisation du virtuel. Toutefois, pour garder la terminologie employée par la narratrice de Zweig et par Bachelard, nous parlerons ici de réalisation des possibles.
Zweig, Vingt-quatre heures de la vie d’une femme, op. cit., p. 92.
Zweig, Vingt-quatre heures de la vie d’une femme, op. cit., p. 109.
Zweig, Vingt-quatre heures de la vie d’une femme, op. cit., p. 120.
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